Publié le 8 février 2015, dans A la Une, Actualités, Course et glisse
Final en Match Race dans le chenal de la baie du Marin.
Trois bateaux ont passé la ligne d’arrivée ce 7 février en 8 minutes, et 50″ entre le 2 et le 3 ème !!!
1- Leclerc Hennebont à 20h09’13 » TU
2 – Merlin à 20h17’04 » TU
3 – Marylou à 20h17’50 »
Richard Fromentin et Jean Frétigny remportent la victoire au Marin, en TEMPS REEL.
Le JPK 10.10 »Leclerc Hennebont » a passé la ligne d’arrivée, dans le prolongement de l’estacade du club Med de Ste-Anne, à 16 h 09 Heure locale. Epuisés mais ravis les deux compères, en savourant le premier ti-punch, offert par Lucie ont dit leur joie de toucher le port en vainqueurs. »La préparation physique d’avant course a été très profitable. Jogging et musculation. Il nous fallait bien ça pour affronter cette grosse mer croisée usante sur la distance. En étant une course d’amateurs je peux vous dire qu’elle est bigrement relevée. Pour arriver premier on s’est arrachés, on a rien lâché! Toujours présents sur les réglages. Il n’y a pas eu de temps morts. Nous avons été très surpris de voir la quantité d’algues qui prolifèrent et qui ont ralenti notre course. Faire marche arrière pour se dégager en pleine mer c’est pas banal. Au final une belle course très enrichissante pour nous. On commence un jour en optimist pour un jour traverser l’Atlantique et finir au scratch devant les autres bateaux c’est merveilleux ».
En temps compensé, MERLIN passe devant Leclerc Hennebont, pour quelques millièmes de rating plus favorables à Merlin … plaisir de la Jauge … Avec 6 bateaux arrivés, Merlin est premier au temps compensé provisoire …
Merlin (JPK 1010) premier en temps compensé au Marin
»Merlin » une magnifique seconde place en TEMPS REEL et une belle victoire en TEMPS COMPENSE au Marin pour une première Transat.
Ils s’étaient donnés pour mission de traverser proprement. Mission accomplie l’équipage de Merlin, le JPK10.10 de Benoît Champanhac et Eric Morvan. Ils terminent second en temps réel à quelques encablures du premier Leclerc Hennebont. Pour une première transat ce fut un coup de maître. Ce qui fait dire à Benoît, le modeste : … »c’est la chance des débutants » …
Très entourés à l’arrivée les deux bretons ont aimé se battre à distance avec Leclerc Hennebont pendant 5 à 6 jours sans pratiquement jamais baisser les bras pour terminer juste derrière.
Les longs surfs, les spis gonflés à bloc, la vitesse du bateau tout restera gravé dans les mémoires y compris, sur la fin, ces maudites Sargasses qui ont fatigué l’ensemble des organismes de la flotte.
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