Publié le 7 juin 2012, dans Évènements
Le Banc d’Arguin : une exposition à l’Aquarium de la Porte Dorée à Paris
Sous cet intitulé : Le Banc d’Arguin – La recherche au service d’un patrimoine – l’Aquarium de la Porte Dorée propose à ses visiteurs une exposition d’exception.Depuis le jeudi 10 mai et jusqu’au 1er juillet 2012 le public est invité à la découverte du golfe d’Arguin en Mauritanie.
Protégé de la houle de l’Atlantique par le Banc d’Arguin, une barrière rocheuse immergée à faible profondeur, le golfe abrite l’une des plus grandes concentrations d’oiseaux de la planète.
C’est aussi un milieu marin à la très forte productivité biologique, où abondent poissons et mammifères marins. Le golfe d’Arguin est unique aussi par la beauté de ses paysages, où les dunes blanches et ocres du Sahara se jettent dans les eaux bleues et vertes de l’océan.
Protégé de la houle de l’Atlantique par le Banc d’Arguin, une barrière rocheuse immergée à faible profondeur, le golfe abrite l’une des plus grandes concentrations d’oiseaux de la planète.
C’est aussi un milieu marin à la très forte productivité biologique, où abondent poissons et mammifères marins. Le golfe d’Arguin est unique aussi par la beauté de ses paysages, où les dunes blanches et ocres du Sahara se jettent dans les eaux bleues et vertes de l’océan.

En 1976, pour protéger cet environnement d’exception, le gouvernement mauritanien a créé le Parc
National du Banc d’Arguin, classé patrimoine naturel et culturel de l’humanité par l’UNESCO.Mais le golfe d’Arguin subit aujourd’hui de fortes pressions.
Pratique ancestrale, la pêche s’intensifie. Les activités économiques se multiplient sur le littoral, en particulier avec l’extension de ports minéraliers et de pêche,l’exploitation pétrolière et minière, ou encore la très récente création d’une route transsaharienne longeant la côte…
Ce développement soumet la biodiversité exceptionnelle du golfe et ses splendides paysages à un risque réel de dégradation. Ainsi, en ce début de XXIe siècle, le golfe et les populations qui y vivent sont confrontés à un défi majeur : concilier la préservation de cet environnement avec l’utilisation de ses ressources.Depuis plus d’un siècle, de nombreux chercheurs étudient ce patrimoine naturel et le mode de vie de ses
habitants, pêcheurs Im raguen du rivage et éleveurs nomades de l’intérieur du pays. Cette exposition présente les principales connaissances scientifiques sur cette région, notamment celles apportées récemment dans le cadre du Projet d’Approfondissement des COnnaissances scientifiques des écosystèmes du Banc d’Arguin (PACOBA).
Ce programme de recherche, qui a associé chercheurs mauritaniens et français, a été piloté par l’Institut Mauritanien de Recherches Océanographiques et des Pêches (IMROP) et le Parc National du Banc d’Arguin (PNBA), avec le soutien du Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France en République Islamique de Mauritanie.Présentée simultanément en France et en Mauritanie, l’exposition est accueillie du 1 0 mai au 1 er juillet
201 2 à l’Aquarium Tropical du Palais de la Porte Dorée à Paris. Elle a été réalisée par l’Institut de recherche pour le développement (IRD) en partenariat avec le PNBA, l’IMROP et le Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France en République Islamique de Mauritanie.
National du Banc d’Arguin, classé patrimoine naturel et culturel de l’humanité par l’UNESCO.Mais le golfe d’Arguin subit aujourd’hui de fortes pressions.
Pratique ancestrale, la pêche s’intensifie. Les activités économiques se multiplient sur le littoral, en particulier avec l’extension de ports minéraliers et de pêche,l’exploitation pétrolière et minière, ou encore la très récente création d’une route transsaharienne longeant la côte…
Ce développement soumet la biodiversité exceptionnelle du golfe et ses splendides paysages à un risque réel de dégradation. Ainsi, en ce début de XXIe siècle, le golfe et les populations qui y vivent sont confrontés à un défi majeur : concilier la préservation de cet environnement avec l’utilisation de ses ressources.Depuis plus d’un siècle, de nombreux chercheurs étudient ce patrimoine naturel et le mode de vie de ses
habitants, pêcheurs Im raguen du rivage et éleveurs nomades de l’intérieur du pays. Cette exposition présente les principales connaissances scientifiques sur cette région, notamment celles apportées récemment dans le cadre du Projet d’Approfondissement des COnnaissances scientifiques des écosystèmes du Banc d’Arguin (PACOBA).
Ce programme de recherche, qui a associé chercheurs mauritaniens et français, a été piloté par l’Institut Mauritanien de Recherches Océanographiques et des Pêches (IMROP) et le Parc National du Banc d’Arguin (PNBA), avec le soutien du Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France en République Islamique de Mauritanie.Présentée simultanément en France et en Mauritanie, l’exposition est accueillie du 1 0 mai au 1 er juillet
201 2 à l’Aquarium Tropical du Palais de la Porte Dorée à Paris. Elle a été réalisée par l’Institut de recherche pour le développement (IRD) en partenariat avec le PNBA, l’IMROP et le Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France en République Islamique de Mauritanie.
Pour plus d’information
PNBA : www.pnba.mr
IMROP : www.imrop.mr
IRD : www.ird.fr