Quatrième édition de la Bosphorus Cup à Istanbul.


Face aux meilleurs régatiers du confins de l’Europe et de l’Orient, Lionel Péan, ses 15 hommes d’équipage et le VOR 70 SFS II 
SFS II vont surtout évoluer dans un stade nautique exceptionnel et particulièrement technique, les forts courants venus de la Mer Noire, l’intense trafic commercial compliquant à souhait les débats.
Les premières confrontations qui débutent ce vendredi par des parcours de type « bananes », suivis samedi d’un parcours côtier entre les rives du Bosphore et au plus près des splendeurs dont les hommes de 
SFS II se régalent à l’avance.

SFS photo Gilles Martin-Raget

SFS photo Gilles Martin-Raget

Professionnels et amateurs

SFS II va une nouvelle fois naviguer dans la configuration qui lui est bien spécifique. Aux 15 hommes d’équipage professionnels s’ajoutent régulièrement des invités du Groupe SFS, qui, loin de jouer les poids morts, participent activement aux actes de la navigation. « Nous sommes désormais, et depuis la saison 2014, bien rodés à l’exercice » décrit Péan. « Chaque invité travaille en binôme avec un équipier attribué. La sécurité est le maître mot à bord et chaque manœuvre se fait ainsi en duo, une main pour l’homme, l’autre pour le bateau, et un œil en permanence sur son binôme. » Ils seront ainsi six invités à profiter chaque jour d’une expérience unique, celle de vivre au cœur de l’action la tension et l’excitation de régates à couteaux tirés. « Seul le sport de voile permet ainsi un tel partage d’expériences » souligne Captain Péan. « Nos invités sont en réalité les acteurs de tout ce qui va se passer d’ici à dimanche soir, terme des régates. »

A suivre
Correspondance de Denis van den Brink
Pour plus d’infos : www.sfs-voile.fr

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