Réduire le transfert d’espèces en maintenant la propreté des coques de navires

Même protégés par une peinture antifouling, les navires déplacent des organismes accrochés à leur coque. Et le contrôle des eaux de ballast ne suffira pas à stopper ces invasions biologiques. Si nécessaire, il faudra faire appel à des scaphandriers spécialisés qui récupéreront les débris pour éviter la contamination. Des directives devraient être adoptées sous la forme d’une résolution, lors du comité de protection du milieu marin programmé en juillet prochain.

Une info de l’hebdomadaire de l’économie maritime Le Marin

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