Publié le 17 avril 2011, dans Festival Livre & Mer, Festival Livre et Mer : prix Henri Quéffelec, Reportages
« Jon, l’islandais » signé Bruno d’Halluin
Bruno d’Halluin est un peu déçu de ne pas avoir pas été le lauréat du prix Prix Henri-Quéffelec .
Déjà récompensé par le prix du Cercle de la Mer 2010, l’auteur se dit néanmoins satisfait que son livre ait été sélectionné parmi les nombreux romans présentés au Festival Livre & Mer 2011.
Informaticien de profession Bruno d’Halluin, nous dit avoir « la chance d’être dans une entreprise qui lui permet de donner des respirations à sa carrière, pour voyager ou pour écrire ».
Son premier voyage de 14 mois sur un Romanée, plan Harlé de 10m, l’a mené jusqu’en Paganonie et au Cap Horn.
Ce périple sur la Volta, dans le sillage des grands découvreurs l’ a incité à écrire un premier livre, récit de ce voyage dans ces zones maritimes mythiques et fascinantes .
« La Volta, au Cap Horn dans le sillage des grands découvreurs » sera le titre de cet ouvrage paru aux éditions Transboréal.
Ambiance littéraire au Festival Livre & Mer
Installé au salon entre deux des autres prétendants pour le prix Henri-Quéffélec, François Adrien, auteur de « L’Ombre de Némésis » et Louis Cozan, auteur de « Un feu sur la Mer », Bruno d’Halluin nous dit » beaucoup aimer l’ambiance de ce salon Livre & Mer qu’il fréquente pour la 3ème fois ».
Sur sa table maintenant deux ouvrages littéraires.
Un autre cap et un deuxième livre : « Jon, l’islandais »
Quelques années après son « itinérance » en Amérique du Sud, Bruno reprend la mer et met cette fois le cap sur l’Islande.
Un autre voyage qui le poussera à écrire ce livre « Jon, l’islandais » paru aux Editions, Gaïa.
Un roman passionnant à l’image forte de ces hommes du nord.
Dans ce livre l’auteur nous entraîne au XVème siècle à l’époque des grandes découvertes mais qui marque aussi ce temps de la disparition du peuple des Vikings.
Le narrateur met en scène la vie de Jon Thorsteinsson, dernier héritier des vikings du Groenland.
Ce jeune garçon sera enlevé par des anglais, deviendra domestique à Bristol, et traversera la magie d’unocéan qu’il découvre pour la première fois.
Marin exceptionnellement doué, il n’aura de cesse de partir en quête de ses origines et de retrouver sa mère, ses fjords sauvages et les glaciers de son enfance.
Bruno d’Halluin
Jon, l’islandais
Edt Gaïa
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